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| April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. | |
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| Sujet: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 11:15 | |
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April Penelope Stevenson "Soyez réalistes, demandez l'impossible." El Che Bonjour ou bonsoir, mes p'tits moscovites adorés. Mon nom à moi, c'est April P. Stevenson ! Classe, n'est-ce pas ? Je suis née le quatre janvier mille neuf cent quatre-vingt quinze (04/01/1995 pour les feignants) à Zagreb donc en Croatie. Je suis une jeune canarde de 19 ans, eh oui ! Un petit secret pour la route : je suis bisexuelle et présentement en relation libre. On me dit souvent que je ressemble à Anna Speckhart, en plus sexy bien sûr. Parlant de sexyness, je fais partie du groupe submission ! En ce moment, je suis glandeuse, je n'ai pas la motivation de reprendre mes études et c'est cool comme ça (ou pas) ! physique Physiquement parlant, je suis plutôt jolie, plaisante. Depuis toujours les hommes aiment me regarder, je le sais, et j'adore sentir leurs regards sur le corps que je mets en valeur. Mon point fort ? Mes jambes et mes fesses, ils en sont tous dingues, je le sais. Il suffit que je mette une jupe un peu courte, un pantalon moulant ou un short pour que j'obtienne ce que je veux, et ça m'a été utile de nombreuses fois. Mais mes jambes, longues, douces car toujours épilées à la perfection, et fines, presque fragiles, ce n'est pas ça qui est à mes yeux le plus important. Ce n'est pas non plus mes seins, pourtant hauts et fermes aux mamelons foncés, qui rendent dinguent tout les hommes quand j'ai l'excellente idée de faire tomber le haut, non, je suis moins matérialiste que ça. Ce que je préfère, c'est mes yeux. Ils sont d'un vert clair, un vert pur, qui se fonce légèrement quand j'ai trop pris de drogue, quand ma dose journalière est trop élevée, ils sont le reflet de ma personnalité. Tout le monde peut voir mes fesses, mes seins, mes jambes, mais rares sont ceux qui peuvent vraiment plonger dans l'océan de mes yeux. Pour mon style vestimentaire, outre que j'adore le luxe, en Croatie je trainais toujours en maillot de bain, et en robe, mais depuis que j'ai suivis Jayden ici, j'ai découvert qu'il existait des gros manteaux et des bottes, pour éviter de geler dans le froid. Je suis carrément frileuse, et les moindres glaçons dans des ébats me rendent folle, je suis une fille du sud, et j'ai plus l'habitude d'être nue à bronzer sous le soleil, que vêtue à regarder la neige tomber. Ma nationalité, et mon style de vie d'avant m'ont sûrement donné ce manque de pudeur total, qui s'affirme souvent dans l'appartement de Jayden, qu'il soit là ou non. | caractère Je ne peux pas parler de moi sans parler d'elles. Elles, des voix qui sont apparues vers l'âge de six ou sept ans, je ne sais plus, et de toute façon, au début je les ignorais, de toute mes forces. Je me mettais parfois à chanter à tue-tête dans la rue, juste pour entendre ma voix, et uniquement la mienne, parce que je peux pas m'avouer que je perds le contrôle sur moi-même. Je sais pas d'où elles sont sorties, mais elles sont là, et si des fois elles peuvent être discrètes, elles peuvent aussi hurler, et dans ces moments-là, je perds totalement le contrôle. Je souffre des les entendre dans ma tête dès qu'elles le veulent, parce que j'aime contrôler ma vie, j'aime contrôler tout ce qu'il se passe autour de moi.. Et là j'ai mal, je n'arrive pas à les chasser, alors j'oublie ça en prenant des doses de ce qui me passe sous la main quotidiennement. Cocaïne, essentiellement, c'est ce qui marche le mieux pour moi, et tous me prennent pour une défoncée dès 10 heures du matin, aucun ne veut comprendre, et je refuse d'en parler. Allez tous vous faire foutre, c'est ma vie, mes bras que je pique, mon nez avec lequel je sniffe, et je porte les pilules moi-mêmes à mes lèvres. Je suis pas le genre de personne à baisser les bras, je suis intelligente, et je sais me débrouiller pour obtenir ce que je veux, de quelque manière que ce soit. Le sexe, l'argent, j'ai tout, et j'offre tout pour obtenir ce qui m'est vital : la drogue. J'en prends presque chaque jour, c'est comme une crème de jour chez les autres femmes, et pourtant quand je suis enfin soulagée, quand je suis ce que quelques conservateurs osent appeler "défoncée", je suis bien. Là, j'arrive parfois à travailler, même si la motivation m'a quittée : avoir un diplôme, un bout de papier, pour prouver que je suis intelligente et brillante ne m'attire pas, je sais ce que je veux et ce que je vaux. J'ai pas besoin de tout ça, si c'est pour finir enfermée dans un bureau entourée de gens en costume, comme des pingouins, totalement ridicules, des gens qui n'ont que leur bonheur à l'esprit, leur réussite sociale, et la taille de leur voiture pour briller en société, c'est pas la peine, j'en ai assez vu, j'ai été vaccinée contre le faux bonheur, l'image de la mare qu'on peut troubler avec un caillou, depuis toute petite. Je préfère vivre ma vie dans mon coin, en fréquentant des soirées, où la musique qui résonne me fait oublier les voix dans ma tête, ou je ne me sens pas seule défoncée, et c'est là que je peux trouver des hommes, ou même des gens avec qui parler, puisque je n'ose même pas imaginer parler avec des membres de ma famille de coincés, malheureusement et anormalement d'une banalité effarante. Puis après je peux hurler, piquer une crise, et mettre ça sur le dos de l'alcool, faire comme si mes crises de folie et d'énervement pouvaient être dues uniquement à ce que j'ai pu ingurgiter dans ces soirées, et je hurle à tue-tête que j'assume de pas me faire marcher sur les pieds. Je hurle, j'évacue la douleur, et je me bouche les oreilles encore plus fort dans l'espoir qu'elles cessent de me parler, de me critiquer, de me juger. Je hurle, j'emmerde le monde entier, et je suis plus heureuse que vous, c'est ça la vérité, et c'est dur à avaler. J'chiale, je crie, je pleure encore, je me drogue, je hurle, je couche avec Jayden, puis avec d'autres, et je bois, puis je prends une nouvelle pilule, et je trouve mon bonheur là où certains voient le malheur. |
on ne change pas le passé Je suis née à Zagreb, en mille neuf cent quatre-vingt quinze, j'étais la troisième enfant de ma famille à naitre : avant moi, il y avait eu mon grand frère, et ma grande sœur qui avait tout juste un an de plus que moi. Dans ma famille nous sommes des vrais lapins visiblement, puisque après moi il y a eu mes deux petits frères jumeaux, et le tout dernier, né en deux mille deux. Il faut croire que ça donne une belle image de famille, d'avoir une véritable colonie en guise d'enfant, chez les Stevenson : mon père a lui aussi appartenu à un grande fratrie puisqu'il a deux frères, et une sœur. En parlant de mon père, autant le dire tout de suite : il est totalement psychorigide et il ne revient jamais sur ses principes. Comme notre famille est sur Zagreb depuis très longtemps et qu'on a plusieurs titres de noblesse, il n'a eu aucun problème pour avoir un poste de ministre, et il passe sa vie au centre ville, près de l'assemblé. Au moins sa vie lui plait et l'amuse..
Comme mon père est ministre, qu'il est aussi un comte ou autre du genre grâce à un acte héroïque de mon arrière-arrière-grand-père, qui avait aidé une personne haute placée de Croatie, il va de soit que mes frères, ma sœur, et moi devons donner une image soignée de nous-même. Toujours habillés correctement, bien coiffés, c'était l'image parfaite d'une petite famille bourgeoise et respectueuse. Nous allions dans une école privée huppée, et au début je suivais le chemin tout tracé par mes parents : des camarades irréprochables, une passion pour la danse classique (qui m'a donné une souplesse à toute épreuve.. ), et des chignons bien faits. Ce qui a commencé à changer, c'est quand pour la première fois je me suis mise à les entendre, elles, les voix. J'étais à l'école, dans la cours de récréation, et j'ai cru qu'un amie me faisait une blague - idiote- en me balbutiant des syllabes à l'oreille, mais non, mes amies n'étaient pas toutes proches de mon oreille. puis, ça ne venait pas de mon oreille, de l'extérieur, c'était intérieur : totalement paniquée, j'ai couru aux toilettes, je me suis passé le visage sous l'eau. Et elles sont parties comme elles étaient venues. J'ai cru que c'était qu'un coup du hasard, que j'avais eu de la fièvre ou que j'étais un peu malade ce jour-là, mais pas du tout, elles sont revenues, de plus en plus fréquemment, et de plus en plus longtemps. Si bien que j'ai commencé à avoir des crises de panique à l'école, d'un coup je me bouchais les oreilles et sortait de la classe, et j'ai été rapidement beaucoup moins adoré par les chérubins adorables des familles bourgeoises de Zagreb. Mais je m'en fichais, au fond, ils étaient ennuyeux, je n'avais jamais aspiré à vraiment devenir leur amie, mes parents l'avaient décidé pour moi en quelque sorte.
Après être devenue "la fille étrange", j'ai décidé que la plupart des fils et filles à papa ne méritaient pas de me fréquenter. S'abaisser à juger mon comportement, je trouvais ça tellement.. répugnant. J'ai donc commencé à fréquenter des gens moins rangés, moins classiques, les bêtes noires de l'école, ceux toujours convoqués chez le directeur, lors de mon entrée en cinquième. Ma mère m'avait conseillé de soigneusement éviter ces gamins un peu rebelles, qui n'avaient pas forcément la coupe soignée des petits garçons de bonne famille ou les jupes plissées des écolières modèles, et je m'étais toujours fiée à elle, mais eux au moins ils ne me jugeaient pas. On séchait les cours, on était convoqués au bureau du proviseur, mais chaque fois je m'en sortait bien puisque j'arrivais à conserver des notes excellentes. Du coup le principal n'avait aucun impact sur moi, et j'ai commencé à prendre goût à provoquer tout le monde quand les voix ne me gênaient pas trop. Certaines fois elles étaient tellement forte que je ne pouvais même pas aller en cours, et si j'avais essayé d'en parler avec ma mère, elle avait immédiatement réagit en me traitant de menteuse. Alors j'ai compris que je devais garder cette douleur, cette torture, pour moi seule.
A l'âge de 14 ans, j'étais déjà très éloignée des codes que ma famille voulait pour moi, et c'est en trainant avec des gens peur fréquentables - drogués, rebelles, libres, un vrai idéal pour moi- que j'ai commencé à goûter à la drogue. c'était lors d'une de mes nombreuses crises, j'ai commencé à m'isoler, à aller hurler dans mon coin, quand un ami, un des rares que j'ai jamais eu je crois, s'approcha en me tentant une petite pilule blanche, en me disant que ça me ferait du bien. J'ai hésité quelques secondes seulement à tendre la main, je les avait souvent vu en prendre, et je voulais qu'elles arrêtent, les voix qui criaient dans ma tête. Je suis rapidement devenue accro, j'avais besoin d'une dose quotidienne, ou presque : cependant, je restait raisonnable dans les doses, parce que je ne voulais pas complètement être déconnectée du monde extérieur, juste qu'elles partent, et surtout je ne trouvais plus assez d'argent pour en avoir tous les jours. Je volais dans les poches des blousons de mes parents, j'ai plusieurs fois été punie pour ça, mais ils ignoraient ce que j'en faisait, et je n'avais que de faible punition.
C'est à 15 ans, en trainant dans un quartier pas très sain de Zagreb, que j'ai rencontré Sean. Il était anglais, et il avait ce que je chérissait le plus alors : de l'extasy. Il était venu ici depuis quelques semaines, et il vendait de la drogue : j'ai commencé à ma fournir chez lui, et il devenait de plus en plus proche de moi. Et j'ai dévouer que j'aimais bien avoir des compliments sur mes tenues lorsque j'allais le voir : il aimait mes jupes courtes, plus mon corps était dévoilé, plus il avait l'air heureux. Ses mains étaient souvent sur mes fesses lorsqu'il me parlait, et je ressentais une excitation qui m'était alors inconnue : après quelques semaines de ce petit jeu, il m'a proposé "un service", en échange de pilules : j'ai tout de suite dit oui, et j'ai perdu ma virginité dans un garage. Et j'ai commencé à prendre goût à certaines choses bannies par ma famille, il me poussait doucement mais sûrement à faire des choses que j'adorais de plus en plus. Exhibition, soumission.. j'ai appris rapidement, et je ne pouvais plus m'en passer, j'aimais le sexe, et c'était comme la drogue : dans ces moments, les voix ne venaient plus dans ma tête, j'étais tranquille. J'ai commencé à sortir, à aller dans le monde de la nuit à 16 ans, et à 17 ans j'étais accro totalement. J'avais testé un nombre de mecs impressionnant, revenant souvent vers Sean, mais j'avais commencé à me lasser. J'aimais découvrir d'autres choses, d'autres horizons, et si il n'arrivait plus à me surprendre, il ne me méritait pas, tout simplement. Il voulait l’exclusivité sur mon corps, je refusais de lui donner, et régulièrement nous nous disputions. Je ne pensais pas qu'un jour je puisse vouloir à mon tour l’exclusivité sur un corps.. et pourtant. Je n'aime pas imaginer Jayden avec d'autres femmes : enfin, cette idée ne me gène pas, mais je n'aime pas qu'il soit sans moi plutôt. C'est idiot, surtout que la première fois, dans la boite de nuit, à 18 ans, quand je l'ai vu, j'ai eu peur, avec tout les tatouages qui marquaient son corps, et son visage. Je l'ai abordé par curiosité, ignorant royalement Sean et ses recommandations, et quelques heures après notre rencontre il me baisait dans l'une des ruelles sombres avoisinant le club. J'aurais put m'en contenter, je l'aurais sûrement fait si il ne m'avait pas donné le nom de son hôtel - luxueux, digne d'un vrai homme d'affaire- et si je ne l'avais pas revu la nuit suivante. Je suis tout bêtement devenue accro, je mourrais de plaisir, et j'ai rapidement vu des pratiques qui me plaisaient, qui m'intriguaient légèrement aussi, puisque je n'avais pas été à l’extrême avec Sean. Et je n'ai pas hésité une seule seconde pour le suivre en Russie lorsqu'il me l'avait demandé : quitter ma famille, ma vie, ma ville et mon passé, c'est tout ce que je voulais. C'est pas l'idéal, on se dispute tout le temps, il est toujours en vadrouille, mais je peux pas me passer de lui, tout simplement : il a tué, il vends des armes, mais je m'en fou de ce qu'il fait. Il n'a pas jugé mes crises, mon addiction à l'extasy, et il ne me considère pas comme une idiote. | derrière l'écran Moi c'est Anonymous, j'ai un certain âge ans. J'ai connu new pleasure life grâce à une pub sur FB( Vive les réseaux sociaux !) et je trouve que ce forum est original, plutôt joli, alors j'ai voulu essayer.. Je suis présente normalement 5/7 sauf quand je suis très occupée jours par semaine. Je fais des RPs depuis au moins 6 années et on peut dire que je suis plutôt débrouillarde, même si le BDSM est tout nouveau pour moi en rp. J'ai bien sûr lu le règlement et le contexte ! Un petit mot pour la fin ? J'ai hâte de commencer !. |
fiche by snow sparrow.
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Dernière édition par April P. Stevenson le Ven 7 Fév - 15:57, édité 7 fois |
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Alaina H. Autumn
Power to control, how I make you my toy.
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৩ Date d'inscription : 03/01/2014 ৩ Messages : 256 ৩ Messages RP : 23 ৩ Age : 35 ৩ Orientation sexuelle : Plutôt bisexuelle
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 13:37 | |
| Bienvenue April Ton avatar est troooooop j'adore *-* Anna est magnifique. Jayden va être heureux de te voir débarquer Tu n'es pas la seule pour qui le RP BDSM est nouveau je crois donc ne t'inquiètes pas pour ça, tu vas très bien t'en sortir j'en suis sûre N'hésite pas si tu as des questions |
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Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 14:15 | |
| Merci beaucouuup Je ne connaissais pas Anna, mais elle est splendide en effet ! J'espère qu'il va être content Je n'hésiterais pas, merciiii |
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Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 16:12 | |
| La bellissime Anna Bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
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Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 16:21 | |
| Merci beaucoup |
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Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 17:22 | |
| MEEEEEH ANNA C'EST TROP UNE SEXY BOMBASSE C'EST MA BOMBASSE A MOI ! Encore merci de choisir mon scénario, j'adore Anna et je t'adore toi, déjà, eh oui je vais plus te lâcher maintenant. Bon courage et bienvenue sur le forum ! J'ai hâte de lire ta fiche |
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Invité
Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 17:59 | |
| mais de rien Et merci beaucoup, j'essaye d'avancer un petit peu ce soir, mais étant modératrice sur un gros forum j'ai du travail en ce moment |
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Evelyn L. Canjura
Admin | La plus belle des roses est celle qui a le plus d'épines
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৩ Date d'inscription : 12/01/2014 ৩ Messages : 414 ৩ Messages RP : 5 ৩ Age : 30 ৩ Métier : Mannequin professionnelle - Strip-teaseuse & Trafiquante de drogues ৩ Orientation sexuelle : Bisexuelle
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Mer 5 Fév - 22:07 | |
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Invité
Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Jeu 6 Fév - 6:47 | |
| Merci beaucoooup |
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Lykke H. Wijkner
Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses métamorphoses
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৩ Date d'inscription : 28/01/2014 ৩ Messages : 100 ৩ Messages RP : 16 ৩ Métier : Tueuse à gages ৩ Orientation sexuelle : Bisexuelle
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Jeu 6 Fév - 9:24 | |
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Invité
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Ven 7 Fév - 16:22 | |
| T'as pris le meilleur scénario, tu seras obligée de me donner un lien |
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Alaina H. Autumn
Power to control, how I make you my toy.
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৩ Date d'inscription : 03/01/2014 ৩ Messages : 256 ৩ Messages RP : 23 ৩ Age : 35 ৩ Orientation sexuelle : Plutôt bisexuelle
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. Ven 7 Fév - 16:31 | |
| Pour moi tout est bon, je te valide Bienvenue April ! Félicitations et bienvenue sur New Pleasure Life. Je te fais un petit discours de quelques secondes et après tu seras libre comme l’air : x Si tu ne veux pas dormir sous les ponts, n’oublie pas de faire ta demande de logement ici, c’est rapide, facile et efficace alors profites-en ! x Tu veux avoir ton petit rang personnalisé à toi ? Tu peux faire une demande ici, mais il n’y a rien d’obligatoire. x Avant de se lancer dans le RP, c’est quand même sympa d’avoir plein de copains non ? Alors empresse-toi de poster ta fiche de liens, histoire que tu te retrouves pas tout(e) seul(e), promis juré aucun membre ne mord. x T’as envie de voir ton frère, ta tante richouze ou ta copine au corps de rêve débarquer sur le forum ? N’hésite pas à créer ton propre scénario juste ici, et le staff le validera pour qu’un membre puisse le jouer. x Dernière petite chose : si t’as envie de te détendre, le forum dispose d’un coin Flood et d’un coin Jeux, c’est pas le top ça ? Alors sois pas timide et viens nous rejoindre entre deux rps. Encore bienvenue, et si tu rencontres le moindre problème, tu peux harceler le staff autant que tu veux, on adore ça ! |
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| Sujet: Re: April P. Stevenson - I will kiss you, and i will kill you. | |
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