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| Sujet: Thomas - Bad Fucking Sexy Boy Mar 18 Mar - 13:20 | |
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Ambroise Edward Thomas Keynes "J’aime te détester" Bonjour ou bonsoir, mes p'tits moscovites adorés. Mon nom à moi, c'est Ambroise Edward Thomas Keynes –où est-ce que mes vieux sont allés chercher ça sérieux ?- ! Classe, n'est-ce pas ? Je suis né(e) le 1er Mai à St Pétersbourg donc en Russie bien entendu …. Je suis un(e) jeune canard(e) de 23 ans, eh oui ! Un petit secret pour la route : je suis Bisexuel et présentement Marié de force et croyez-moi, cela ne me plaît pas du tout !. On me dit souvent que je ressemble à Fransisco Lachowski., en plus sexy bien sûr. Parlant de sexyness, je fais partie du groupe Freeway ! En ce moment, je suis Peintre & Musicien à plein temps, contre l'avis de mes parents, of course et c'est cool comme ça (ou pas) ! physique « Thomas ? Mais bien sûr que je le connais ! Il est vraiment très beau comme garçon ! Il a ce côté sexy qui ne passe pas inaperçu et puis, il a un charisme de fou. Sur scène, on ne voit que lui. Dans une galerie d’art ou dans une soirée, nos yeux sont souvent attirés par lui. Et puis, il a une belle gueule, il faut l’avouer, ce qui arrange bien les choses. Une gueule d’amour comme on dit. Oh oui. Il en fait tomber des garçons et des filles avec un simple sourire de ses dents parfaitement blanches et alignés. Il prend quoi comme dentifrice ? Colgate Max White x1000 ? Moi, même si j’essaie, ça ne fera pas cet effet ! Il en a de la chance ! Bref. Ouai, il a un visage de jeune mannequin et de premier de la classe –sauf qu’il faut le voir en soirée pour savoir que c’est pas forcément le cas !-. En même temps, il n’a que 23 ans donc c’est normal qu’il est un visage de jeune non ? Il possède des yeux chocolat absolument magnifique, tellement profond et rieur que ça vous fout la chair de poule. Et puis il a un joli petit nez aussi. Et une bouche sensuelle qu’on a bien envie de goûter. Je l’ai vu une ou deux fois torse-nu et je peux vous dire une chose … Il est super bien foutu ! Il possède de jolie pectoraux et … pas de poil. Du tout. Alors, je ne sais pas s’il se rase ou si c’est naturel mais bon dieu, ça donne des envies pas très catholiques tout ça ! Bref, voilà.» Un fan de Thomas
« Je connais bien Thomas … et sous toutes les coutures si vous voyez ce que je veux dire. Ouai, on a couché ensemble une fois et il se défend vraiment bien au pieu ! Ah ? C’est pas ça que vous voulez ? Dommage. Bref. Il est super bien fait … de partout. Il à une peau douce et des cheveux court châtain foncé, presque brun et soyeux. Passez votre main dedans et vous êtes addict de cette sensation. Thomas est plutôt grand, je dirais qu’il mesure dans le mètre quatre-vingt-cinq et doit peser environ soixante-dix kilos, je pense. Quand je le vois, il s’habille très simplement avec des jeans, des t-shirts ou des pulls. Bref, des trucs simple et pas cher. Je peux vous dire aussi qu’il n’est pas très frileux aussi. Il possède un ta touage avec écrit « Liberté » écrit en cyrillique sur la cuisse gauche et, à l’intérieur du bras droit se trouve une citation « La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre. » de Gandhi. Ne me demandez pas pourquoi ces deux tatouages, je n’étais un coup d’un soir pour lui. » Un de ces coups d’un soir au féminin
| caractère « Keynes ? Ce riche connard ? Ouai, je le connais. Ce mec, j’l’aime pas. Il est bourré de fric, il s’en cache pas mais en même temps il le fait pas forcément voir. C’est bien ? Ouai, ben non. Tout le monde sait qu’il est riche et ils en profitent pour lui demander des tournées générales et le mec y dit « OK ! PATRON ! C’EST POUR MOI ! ». ‘Tain, mec, t’es con ou quoi ? Sérieux ! Il me fout les boules ce mec, il est super-franc, beaucoup trop et il m’a fait fermer ma gueule plusieurs fois. Franc et en plus, il sait comment faire taire les autres. Il a de bons arguments, j’avoue mais quand même quoi. Fuck ! Femmes et hommes se pressent autour de lui et il a toujours un mot pour rire ou un compliment sur le bout des lèvres. Il les prépare avant ou quoi ? Par contre, je sais que, parfois, il utilise les mêmes pour plusieurs personnes ! Tchh, l’imagination, c’est pas c’qui ait de plus développer chez lui hein ? En tout cas pour les compliments. C’est un sacré fêtard ce mec ! Il reste souvent jusqu’à la fermeture. Il peut être totalement déchiré mais il reste jusqu’au bout. Après, je sais pas comment il rentre mais il le fait. Le pire, c’est qu’il remet ça le lendemain quoi. Chais pas comment il fait. Bref, Keynes est un sacré bâtard quand il s’y met aussi. Mieux vaut pas le chercher parfois … » Un jaloux.
« Ambroise ? Oui, bien sûr que je le connais, c’est mon cousin après tout. Je ne le comprends pas toujours, bien qu’il soit très axé sur les traditions et les superstitions de la Russie, il n’a pas du tout les mêmes valeurs que nous. Parlons ainsi, mon cousin ne parle que très rarement de façon pédante ou dans un langage soutenu, il tient tête à ses parents, n’en fait qu’à sa tête, n’était pas vierge à son mariage –d’ailleurs, il n’en était pas heureux-, il dit être différent de nous. Pour reprendre sa phrase précise, il dit souvent « vous avez un balais là où je pense et il est enfoncé bien profondément, votre hypocrisie me fait gerber et vos petites valeurs sont méprisables ». Oui, il peut parfois être très vulgaire quand il s’y met. Quelque part, je peux comprendre pourquoi il est devenu ainsi mais je ne le cautionne pas. En effet, depuis qu’il est tout petit, on lui à mit la pression. Certes il n’était pas destiner à être l’héritier de la multinationale de son père mais … il a toujours eu un don pour la peinture et pour la musique. Donc, même quand il ne voulait pas peindre, on le forçait jusqu’à ce qu’un jour, il casse tout. Littéralement. J’admire Ambroise pour son esprit créatif et son sens de l’observation mais je déteste Ambroise pour les valeurs auxquels il croit. Il ne fait que détruire la réputation de sa famille … et pourtant, Ambroise vaut tellement mieux que ça ! » Un cousin portant le même nom de famille.
« Tom’ ? Bien sûr ! Ce mec à toujours le mot pour rire. Il semble détacher de tout comme si toutes les critiques glissaient sur lui sans l’atteindre. Si on le connait comme moi je le connais, je peux vous dire que certaines choses le blessent bien plus qu’il ne le montrera et qu’il ne le dira jamais. Malgré ses défauts, c’est quand même un mec bien. Loyal envers ses amis(es), il ne trahira jamais un secret qu’on lui a donné. C’est une épaule sur laquelle on peut se reposer et faire confiance. Il est également plutôt calme … enfin, ça aussi c’est un peu une façade. On ne dirait pas comme ça mais il est plutôt cultivé, il adore Gandhi et l’admire pour son côté prôneur de paix, il aimerait faire pareil. Par contre, c’est vrai qu’il n’est pas très tendre avec sa femme. Non, il ne là frappe pas, jamais il ne lèverait la main sur elle –je pense ?- mais disons qu’il n’est pas très fidèle. Il faut dire qu’il n’a jamais voulu de ce mariage mais ça, c’est autre chose. Il est très ouvert. Beaucoup trop si vous voulez mon avis. Ce mec est un vrai moulin sociable. Il parle à tout le monde, depuis le SDF dans les rues au mec qui vient de sortir de prison ! Cela ne lui fait pas peur. Il aime discuter avec eux parce que ça lui semble intéressant mais un jour ou l’autre, il se fera poignarder dans le dos, moi je vous le dit ! C’est aussi un garçon assez rêveur malgré les apparences. Parfois, quand il m’attend quelque part, il semble partir dans les limbes de ses pensées et il ne m’entend pas l’appeler jusqu’à ce que je pose une main sur son épaule. » Ami d’enfance de Thomas
« Le jeune Maître ? Bien sûr que je le connais ! Je l’ai vu naître après tout ! J’ai vu toute son enfance et son innocence et puis sa décadence. Vous savez, le jeune Maître ne nous a jamais traiter comme des êtres inférieurs, au contraire. Il adorait nous suivre et nous aider à faire des choses bien qu’on lui disait non. Il nous appelle tous par nos prénoms et insiste pour qu’on en face de même mais nous ne pouvons pas, ce ne serait pas bien ! Je me souviens que, lorsqu’il était jeune, le jeune Maître détestait les carottes mais maintenant, il les aime bien. Ce que nous n’avons jamais pu lui faire manger c’est les épinards et le caviar. Sinon, il n’est pas très difficile en fait. Le jeune Maître aime la peinture, dessiné, le piano, la guitare, le violon, la musique en fait. Il déteste les fêtes guindées et sa famille apparemment –je ne peux pas le blâmer bien que ce ne soit pas ma place de dire cela-, qu’on oublie les traditions russes et les araignées. C’est un des seuls animaux qui le répugnent et dont il a réellement peur. Il est d’ailleurs allergiques à leurs morsures, pas au point de mourir si c’est le cas mais quand même, c’est assez impressionnant. » Une domestique chez les parents de Thomas.
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on ne change pas le passé Lumière. Douleur. Pleurs. Un enfant vient de naître. Un bébé vient embellir le monde de son innocence. Ses pleurs jaillissent dans la salle d’accouchement et la Maman peut enfin souffler. Son deuxième enfant. Son deuxième fils est né. Comment Madame Keynes allait l’appeler ? Mais tout simplement Ambroise Edward Thomas Keynes. Oui, trois prénom pour ce bébé. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient riches et ils avaient le droit d’être un peu pompeux. Ils étaient d’origines nobles ET ils avaient une entreprise qui faisait vivre pas mal de monde après tout. Ambroise était certes un prénom français mais elle l’aimait bien. Edward était le nom du père de la Maman et Thomas, c’était pour donner un peu plus de modernité à ses prénoms assez anciens.
Bâillement. Kick. Dodo. Un bébé s’est endormit dans son berceau dans la grande, très grande propriété familiale. Un bébé dort et une enfant de cinq ans rentre dans cette chambre doucement, sans faire de bruit. Il est curieux de voir ce nouveau dans sa vie. Cet intrus. Son petit frère. Ce petit truc qui ne fait que pleurer et dormir. Il est curieux. Il ne doit pas le réveiller et il ne doit pas le toucher, il veut juste le regarder au travers des barreaux de ce berceau qui l’enferme. Il s’approche doucement, presque comme un ninja en mission. Il s’agenouille et prend entre ses petites mains les barreaux du berceau et étudie avec attention le bébé. C’est … bizarre. Il ne comprenait pas. Qu’est-ce que bébé avait de si spécial pour qu’on lui interdise de jouer avec lui ? Cela le dépassait. Il resta tellement longtemps devant le berceau d’Ambroise qu’il s’endormit assit. Lorsqu’une domestique le découvrit, elle l’emmena dans sa chambre pour le laisser dormir et elle garda le secret afin que l’héritier de l’empire Keynes ne soit pas punit.
Rire. Jeux. Complicité. Le bébé à bien grandit. Il a maintenant cinq ans et son frère en a dix. Malgré leur différence d’âge et le départ un peu difficile, ils sont maintenant copain comme cochon. Ils adorent jouer ensemble, quand ils le peuvent et foutre le bordel dans la maison. Ca, c’est surtout quand leurs parents ne sont pas là en fait. « Un deux trois soleil ! » Qu’importe qu’ils soient simplement tous les deux pour ce jeu. Ils savent qu’ils vont rire. « 100 ! J’arrive ! J’espère que tu es bien caché ! » Cache-cache. Un de leurs jeux préférés. Dans leur immense maison, cela peut prendre des heures avant que l’un ou l’autre ne se voient. Et Ambroise est plutôt bon pour ce planqué en plus. « BOUHHHHHHHH ! » S’amuser à se faire peur, c’est marrant. Surtout voir Ambroise courir se cacher derrière leur gouvernante à moitié terrifié et à moitié amusé. « … Et tu sais, c’est comme ça que je vois la maison. » Les fous-rire d’Ambroise emplissent la maison alors que son frère lui raconte une histoire drôle. Il lui arrive même de tomber à la renverse sur le tapis devant la cheminée du grand salon et de ne plus s’arrêter pendant une bonne dizaine de minutes.
Pression. Musique. Solitude. Cependant, quand leurs parents étaient là, les enfants se devaient d’être calmes, droit, aucun cri n’était tolérer et les jeux devaient se faire en silence. Quand il y avait des jeux car pour eux, ce qui comptait le plus, c’était les bonnes notes et les bonnes appréciations à l’école. Ils se devaient d’être, pratiquement des adultes alors qu’ils n’étaient que des enfants. La pression était forte sur les frêles épaules d’Ambroise mais c’était encore pire pour son grand-frère qui serait l’héritier de l’empire familial. Quand les parents étaient là, les deux enfants étaient comme séparés par un mur impénétrable et cela leurs faisaient mal. Au début surtout. Pour se libérer de la pression que ses parents mettaient sur ses épaules, Ambroise se réfugiait dans ses passions : la musique et la peinture. Il avait appris très tôt le solfège et il jouait du piano et du violon. Il poussait aussi la chansonnette. Mais les parents voyaient bien que leur fils était doué et donc, même dans ces domaines-là, ils lui mettaient la pression. A ses dix ans, ses œuvres ont été exposés dans la maison familiale, ce qui à donner lieu à un banquet. Et ils vantèrent aussi les méritent de leur fils aîné qui devenait, petit à petit un véritable petit mondain mais qui avait toujours d’excellente note. Toujours le premier de sa très grande école privé. Ambroise se sentait de plus en plus seul. Même son frère commençait à l’abandonner mais il continuait d’être un gentil petit garçon obéissant, ayant de bonnes notes et une attitude irréprochable.
Témoin. Décadence. Célébrité. C’est à ses seize ans que tout bascula. Dans sa grande école privée où seul les riches pouvaient entrer, alors qu’il marchait tranquillement dans les couloirs, il entendit des conversations un peu plus loin. Curieux, il regarda par la porte entrebâiller pour voir un garçon plus âgé avec une fille dans les bras. Ils discutaient avant de s’embrasser pour ensuite se déshabiller totalement et faire l’amour sous les yeux ébahis et un peu choquer d’Ambroise qui était partit en courant, totalement rouge lorsque le garçon était entrer en elle. Il venait tout juste d’être le témoin d’une scène qu’il n’aurait jamais dû voir. Cette scène, il là garda pour lui bien entendu mais un jour, le garçon le coinça et dit : « Tu es un petit voyeur hm ! » « N … Non. » « Je t’ai vu nous regarder Olga et moi. » « Par accident. » « Eh …. Et ça ta plu hein. » « … » « HAHAHAHAHAHAHA ! Ne fais pas cette tête-là Keynes ! » « C’est ma tête habituel. » « PFFF !!! T’es drôle ! Aller vient mon grand, t’as l’air différent de tous ses coincés alors, je vais te faire découvrir un monde que tu n’imagines même pas. » Et Ambroise se laissa entraîner. Comme Mikhaïl l’avait dit, il lui montra un monde totalement différent. Il changea petit à petit et alors qu’on lui mettait encore une fois la pression à la maison. Il regarda son père, sourit avant de se lever du tabouret où il était assis, ouvrit la fenêtre et jeta ses pinceaux, sa peinture et la toile qu’il était en train de peindre par cette dernière avant de dire : « Père, voici ce que j’en fais de cette pression ! » Et il s’en alla de la pièce où ses parents et son frère sont restés totalement médusés. Il apprit à jouer de la guitare en autodidacte et fît un peu de mannequinat. Les soirées qu’il faisait étaient rempli de musique, d’alcool, de drogue et … de sexe bien entendu. Oui, ce nouveau monde l’intéressait au plus haut point. A 18 ans, il se fît tatouer également parce que cela l’intéressait et qu’il y avait des choses qu’il voulait garder sur lui, peu importait la douleur.
Soirée. Destin. Refus. Le temps passa, Ambroise fût diplômer de sa grande école et devient peintre et musicien à plein temps, il arrêta de faire le mannequin à 21 ans parce que c’était trop … conventionnel. Il faisait des concerts ou bien jouaient lors d’émission télé avec de la musique. Il était connu et apprécié pour cela mais pas très apprécié pour son côté décadent. Fumer, boire, le sexe. Le pire, c’est qu’il se fichait bien de ce que les magazines people pouvaient bien dire de lui. Un jour, il avait été interviewé par un magazine people et il avait dit : « Vous savez, je suis ce que je suis. Si j’avais été un anonyme et une personne né sans argent, on ne parlerait pas de moi. De plus, ma vie privée ne regarde que moi désormais si un seul paparazzi s’approche de moi, je détruirais sa carrière. » Depuis, il n’a plus fait d’apparition dans les magazines. Comme quoi, ça marchait bien les menaces même s’il n’aimait pas les utiliser. Il en avait eu marre, c’était tout. Etait-ce si compliqué de comprendre qu’une vie privée c’était une chose qu’il voulait protégée ?
C’est à ses vingt-et-un ans qu’il rencontra Indiana. Son père avait organisé une nouvelle soirée avec tout le gratin. Cousins, cousines, nobles, riches. Evidemment, Ambroise y était. Pas de gaité de cœur mais il y était. Il avait été enfermé et contraint de venir à cette fête sous la menace de ne plus sortir de la maison familiale avant ses vingt-trois ans et ça, il n’aurait jamais pu survivre. Alors, il avait obéit. Un verre de champagne à la main, il regardait les invités autour de lui. Tous aussi hypocrite les uns que les autres … « Vous êtes magnifique ma chère. » « Votre robe vous va à ravir. » « Votre coiffeur à un véritable artiste ! » Et patati et patata alors qu’il savait parfaitement que dans leurs têtes ça disait : « quelle grosse vache ! » ; « quelle idiote ! » ; « Elle ressemble à un canard boiteux » et autres. Un sourire narquois c’était alors dessiner sur son visage. Sa mère arriva alors près de lui, emmenant avec elle deux femmes. L’une plus âgée que l’autre. Mère et fille. Il voyait arrivé sa mère de loin, il savait parfaitement ce qu’elle voulait. Il s’inclina légèrement, déposa un baiser sur les mains des deux femmes, un sourire ironique sur le visage qui, pouvait faire penser à un sourire de gentleman. Sa mère présenta les deux femmes avant de pousser son fils à discuter avec Indiana et à la faire danser. Il proposa donc d’aller danser. Leurs yeux se bloquèrent l’un dans l’autre et il décida qu’elle serait son « dessert », sa récompense pour être venue ce soir. Il lui montra alors ses tableaux sous sa demande et commença à la séduire, pensant qu’elle ne lui résisterait pas. Cependant, elle semblait bien ancrée dans sa vertus.
Pendant plusieurs mois ils sont sortis ensemble –ce qui ne l’empêchait pas de faire d’autres sorti et de voir ailleurs mais jamais, jamais il n’a pu la mettre dans son lit. Son père lui a alors dit un jour : « Epouse Indiana. » « Pardon ? » « Tu te dois d’épouser Indiana. » « Parce que maintenant il y a une règle, une lois qui m’oblige à l’épouser ? » « Ambroise, ne commence pas. » « Je commence si je veux et je vais même finir. Je savais parfaitement que Mère voulait que j’épouse cette femme mais je ne le ferais pas, je ne suis pas un objet que l’on peut exploiter quand on le veut ! » « C’est trop tard fils. » « QUOI ? » Son père lui avait tendu un document, une copie de toute évidence qu’il lut rapidement. Il là froissa, se leva d’un bond, faisant tomber la chaise puis, il déchira le papier en mille petits morceaux et hurla : « ALLEZ-VOUS FAIRE FOUTRE ! » Que toute la maison entendit bien entendu. Il fila dans sa chambre et frappa dans le mur avec son pied. Evidemment, il se fît mal et boitilla jusqu’à son lit où il insulta tout et n’importe quoi.
Le lendemain, il fît sa proposition à Indiana et, bien entendu elle accepta. Cependant, elle a dû voir dans le regard d’Ambroise qu’il n’acceptait pas cette union. Ce n’est qu’à ses vingt-deux ans qu’eut lieu la cérémonie. Ils pensaient peut-être qu’ils allaient pouvoir le mettre en cage ? Qu’ils allaient pouvoir le calmer ? Et bien dommage pour eux mais c’était tout le contraire. Il continua ses conneries encore plus qu’avant, ne partageant le lit conjugal que lorsqu’il en avait envie. Le reste du temps, il dort dans une chambre à part qu’il ferme à clef pour ne pas qu’elle vienne le rejoindre. C’est lui qui décide et un point c’est tout.
Aujourd’hui, il est un peu perdu car, bien que marié, il arbore certains sentiments pour une personne qu’il avait rencontrée lors d’une soirée et, bien qu’il n’aime pas Indiana, il ne peut pas non plus l’abandonner. Sa décision devra être prise un jour ou l’autre cependant. Alors, est-ce que le cœur gagnera ? Ou bien est-ce que ce sera l’alliance ?
| derrière l'écran Moi c'est Secret , j'ai 22 ans ans. J'ai connu new pleasure life grâce à différents partenariats et je trouve que ce forum est magnifique. Je suis présent(e) 7/7 (enfin, j'essaie hein !) jour(s) par semaine. Je fais des RPs depuis x (ouai, ça me va bien xD) années et on peut dire que je suis bien je pense, c'est pas à moi de le dire xD. J'ai bien sûr lu le règlement et le contexte ! Un petit mot pour la fin ? Love . |
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Dernière édition par A.E. Thomas Keynes le Jeu 27 Mar - 20:00, édité 6 fois |
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