NORINA ¤ Hi, I'm the bitch who fucks with your husband.
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Sujet: NORINA ¤ Hi, I'm the bitch who fucks with your husband. Jeu 13 Mar - 21:53
Hi, I'm the bitch who fucks with your husband
« Hey, t’auras pas du feu par hasard ? »« Celui que t’as au cul te suffit pas peut-être ? »« Et mon poing dans ta gueule, il va faire du feu tu crois ? »« Oh ça va, je rigolais.. » Elias n’avait jamais eu vraiment d’humour, tu le savais bien pourtant, mais tu ne pouvais pas t’empêcher de lui lancer des petites piques de temps en temps. Tu lui passes ton briquet avant de le fixer un moment, appuyé contre le mur de l’entrepôt qui abrite leurs réunions et leurs machinations diverses. « Alors, t’en dis quoi ? »« Est-ce qu’il est digne de confiance ? »« Je pense, ouais. »« D’accord. Mais je veux que tu m’appelles en arrivant et en repartant. T’es la putain qui me rapporte le plus, je peux pas risquer de te perdre. »« Je sais bien, tu me le dis tous le temps. Mais je ne pense pas qu’il soit du genre à me vouloir du mal. »« Dans cette ville, beaucoup de gens te veulent du mal. »« Oh, ta gueule. Tu me fais chier avec tes mises en garde, je sais encore prendre soin de mal. »« T’as du toupet de me parler comme ça. »« Ouais, et je sais aussi que tu ne me feras rien. »« Ouais, aller casse-toi. Et ramène moi beaucoup de pognon. »« Ouais, c’est ça. A plus tard. »
Après moult essais, tu avais finalement réussit à lui faire accepter le fait d’aller au domicile d’un client pour faire ton travail. Elias était toujours très prudent quand il s’agissait de toi, un peu trop d’ailleurs et de toute façon, tu y serais allé, même sans sa permission. Tu attrapes le premier bus qui passe puis, tu patientes, le long du chemin, tu images un peu la maison à laquelle tu dois te rendre. Tu images un manoir immense, richement et joliment décoré, un jardin bien entretenu, peut-être même des fontaines, une maison de riches quoi. En arrivant finalement devant la demeure, tu ne t’attendais pas à trouver un chalet, certes immense, mais assez sobre vu de l’extérieur et très coquet. Tu es assez étonné qu’un homme seul vive dans une telle maison, mais en le voyant arriver vers toi avec le sourire, tu oublies un peu la maison et les décorations qui l’encombre. Tu le salue, puis le suit à l’intérieur, pas le temps de regarder autour de toi, il s’empresse de t’emmener vers la chambre, l’endroit où tu vas passer plusieurs heures à t’occuper de lui et inversement d’ailleurs.
Durant de longues minutes, tu perds la notion du temps, entre les caresses, les coups de hanches ou encore les cris de plaisir que tu ne te lasses pas de lâcher à en faire trembler les murs du chalet. Puis, ta prestation arrivant à sa fin, tu décides de laisser ton client quelques instants, histoire qu’il puisse se remettre de ses émotions et s’occuper de ses petites affaires, tu sais que tes clients aiment parfois être un peu seul après un instant de débauche. Nu comme un ver, tu décides de partir à l’expédition dans cette immense demeure, notamment afin de trouver le cœur de la maison, la salle refermant le trésor que tu convoites le plus en cet instant : le frigo. Depuis environ 5 à 10 minutes déjà, une faim terrible te tenaille, elle te pousserait même à avaler des plantes, puisqu’il y en a une dizaine autour de toi. Mais ton supplice prend fin au moment même où, d’un pas élégant, tu pénètres dans la cuisine, un magnifique frigo américain se profilant devant toi. D’un pas plus rapide, tu te diriges vers ce dernier et l’ouvre rapidement, extirpant de son ventre moult chose à déguster avant que ton heureux client ne vienne te donner le gain des minutes passées en sa compagnie. Tu prends assez de choses pour être certain de pouvoir remplir ton estomac, puis tu t’installes sur la table non loin de là, et tu commences à te préparer un petit repas de roi, mais c’était sans compter sur l’arrivée impromptue d’une femme assez grande, rousse, et plutôt surprise de te voir complètement nu assis à une table en train de manger comme un ogre. Alors, avec ta finesse habituelle et toute ton aise, tu la regardes en mâchouillant un bout de saucisson puis tu redresses une de tes jambes pour essayer de cacher ton appareil reproducteur, essayant de garder un peu d’égard vis-à-vis d’une dame. « B’jour. Vous voulez manger un petit truc ? Oh, heu… Vous habitez ici ? Parce que si c’est le cas, je crois pas que vous allez m’apprécier. » Tu n’avais encore jamais affronté ce genre de situation et tu étais à mille lieux d’imaginer que ton client était en fait un homme marié, tout ce que tu espérais, c’est qu’elle ne pique pas une crise d’hystérie alors que tu étais là, tu n’as jamais aimé les hystériques, elles te percent les tympans à force de hurler.