Tout commence le jour où mon père avait commencé à me battre et à me violer. J'avais quoi, à peine aux alentours de 6 pauvres années? Il abusait de moi, ce salopard. Il prenait son pied et jouissait sans retenue, en moi. Je le sentais, cette vibration et sa semence qui se répandait en moi. J'avais mal au coeur, j'avais envie de le frapper, de le tuer. Malheureusement, j'étais trop jeune. Je devais me taire. C'était à cause de lui que plus tard, je deviendrais une tueuse à gages. Je savais qu'un jour, je pourrais le tuer et déverser ma colère sur lui. Et d'ailleurs... ma mère aussi, pourquoi pas. Cette garce qui entend mes pleurs, mes gémissements de douleur. Je lui en ai même déjà parlé mais cette femme ne veut rien faire. Elle refusait de se dresser devant cet homme, qui, pourtant ne faisait pas très peur. Il arrivait seulement à bien dominer les femmes de sa vie.

Âgée de 16 ans, je m'étais entraîné longuement durant ma vie. J'étais rendue une jeune femme flexible, robuste et forte. Le grand jour était enfin arrivé. J'avais acheter du ruban gris très résistant ainsi que des cordes. J'attendis que la nuit soit tombée avant de surprendre tout d'abord ma mère, qui dormait dans le salon, où je l'attachai solidement à une chaise. Je n'avais eu aucun mal à l'attacher, elle. Mon plus gros défi, c'était cet homme lâche qui dormait là-haut. Il dormait dans un lit king, très confortable et luxueux tandis qu'il laissait ma mère dormir durement sur un canapé froid. Bref, il méritait davantage de crever qu'elle. J'allais tuer ma mère uniquement parce qu'elle n'avait pas osé bouger un seul doigt pour me sauver de l'emprise de mon père les jours où il abusait de moi et qu'il me battait. Je montais à l'étage et je dois dire qu'on s'étaient vachement battus pour avoir le dessus l'un sur l'autre. Heureusement pour moi, mon père était ivre et il venait presque tout juste de se coucher. L'avantage était donc pour moi. Je l'assommais pour pouvoir le traîner jusqu'en bas et l'attacher à son tour sur une chaise robuste en bois.

J'attendis que tous les deux soient réveillés. Je possédais dans ma main gauche un magnifique couteau long et reluisant. Je voyais la peur dans les yeux de ma mère et la haine dans le regard de mon père. Je lui dis alors que j'allais tuer ma mère en premier, lui offrant un spectacle des plus morbide. Lui faire voir ce qui l'attendait par la suite. J'égorgeais sans peine ni remord ma mère, le sang qui giclait à présent le long de sa poitrine et de ses vêtements. Je vis la vie quitter son regard et je me retournais ensuite vers mon paternel. Je lui disais ses quatre vérités, ce qu'il m'avait fait enduré. Je ne le laisserais pas s'enfuir ainsi et surtout je n'allais pas le laisser en vie pour toute la misère qu'il m'avait fait endurer. Et qui sait s'il n'avait pas répété cela sur ses élèves? Lui qui était professeur à une école primaire! Je n'avais pas envie de l'égorger comme un porc, même s'il le méritait, au fond. Non... j'avais envie de lui arracher le coeur. C'est ce que je fis. Lentement, j'enfonçais la lame blanche dans sa poitrine, faisant couler le sang. Il ne fut pas mort avant  un bon moment, souffrant de la lame qui déchirait ses entrailles. Lentement, je retirais enfin son coeur et je le poignardais à même celui-ci. Maintenant, il fallait que je m'en aille. J'allais être recherchée. Je fis donc mes valises et je quittais Salvador. Je devais trouver une nouvelle place où vivre. C'était donc là que je pris l'avion et je me rendis à Moscou, en Russie.

Je vis maintenant ma propre vie depuis que je suis arrivée ici. Je prends des contrats pour tuer des gens et faire le sale bouleau à leur place. J'aime cette sensation enivrente que cela me procure. Toutefois, j'ai créé ma propre boutique érotique afin de camoufler mes meurtres et ma vie de tueuse à gages. Je l'ai ouvert il y a peu. Il y avait beaucoup d'objets sexuels, de jeux intimes pour deux, entres amis et autres. J'ai aussi fait livrer des films pornographiques pour les gens qui aiment bien en visionner. J'ai des objets pour les dominants, comme moi et beaucoup plus d'objets pour les soumis. J'aime voir ces objets dans ma boutiques. Toutes ces cravaches, ces poignets en cuir pour attacher une personne au lit. Ma boutique est forte diversifiée et j'adore ca. Il est même possible de faire une expérience de mes jouets directement. J'ai des chambres au sous-sol qui le permettent.

Je vis ma vie comme je l'entends. Si quelqu'un n'est pas d'accord avec ca, qu'il aille se faire foutre. J'aime qui je suis, j'aime ma vie et il n'y a personne qui viendra foutre la merde dans tout ce que j'ai construis. J'aime prendre mon pied. Qui sera le prochain à faire une nuit blanche avec moi?